Comment a t-on réussi à accueillir de telles œuvres à Caen ?
Le tout c’est d’avoir l’envie de les accueillir ! Notre conservateur Patrick Ramade est allé voir son homologue de Bergen, où il ont choisi les tableaux sur place. Comme on offre toutes les garanties pour les héberger, il n’y a aucun souci pour que le musée nous prête ces œuvres. On a surtout eu la chance énorme d’obtenir le fonds du collectionneur Gundersen, qui nous a fait confiance et nous prête sa collection de cinquante estampes.
Comment tout cela s’organise ?
On veut montrer comment Munch, que l’on connaît en peinture, est tout aussi intéressant en gravure. Comment les deux techniques ont jalonné son parcours. On va présenter un dialogue entre la peinture et les différents états de la gravure.
“Le Cri” n’est pas là ? Pourquoi ?
Si, en gravure ! C’est aussi un très beau “Cri”. La peinture ne sortira sans doute plus de Norvège depuis que le tableau a été volé.
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