Il va se trouver embarqué dans une aventure incroyable, car ce bateau, qui renferme un parchemin contenant un étrange message, est convoité par Ivan Ivanovitch Sakharine, un homme diabolique qui ne recule devant rien pour obtenir ce qu’il veut.
Dans ces aventures, toujours suivi des inspecteurs Dupont et Dupond, Tintin va faire la connaissance du capitaine Haddock, un vieux loup de mer porté sur la dive bouteille.
Véritable tintinophile depuis longtemps, Steven Spielberg s’est enfin attaqué à ce héros en culottes courtes, à la houppette légendaire et qui ressemble furieusement à Indiana Jones. Au début, on est un peu désarçonné par un Tintin qui ne ressemble pas complètement (enfin, pour les amateurs des BD !). Puis, emporté par le rythme trépidant du film, on finit par s’habituer. Car Steven Spielberg a utilisé la technique dite de “performance capture”, qui permet de reproduire en animation les expressions du visage et les gestes d’un véritable comédien, en l’occurrence Jamie Bell (l’interprète délicieux de “Billy Elliot”), dans le rôle de Tintin. Ce qui donne un réalisme impressionnant aux personnages et leur permet d’incarner les célèbres héros des BD d’Hergé.
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