"La personne de permanence à la préfecture du Rhône, ayant autorité pour signer l'Obligation de quitter le territoire (OQTF) et le placement en centre de rétention de l'assaillant de Marseille, était absente", ce qui a empêché la procédure d'arriver à son terme, a expliqué une de ces sources. "Il y avait aussi un problème de disponibilité de place en rétention le samedi matin", a fait valoir de son côté une source proche du dossier, confirmant une information du Parisien.
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