Le débriefing a été rapide avant de partir en vacances, mais la volonté de recommencer est déjà là. Pour Jean-Louis Louvel, le Green Horse Festival premier du nom a été une grande réussite. Alors, forcément, le cocréateur de l'événement se projette sur une deuxième édition en 2018.
Le premier objectif sera d'ancrer le "GHF" dans le paysage des festivals musicaux normands. "Il faut que l'on s'identifie à l'hippodrome de Mauquenchy (Seine-Maritime), explique Jean-Louis Louvel. Pour la date, on veut s'inscrire dans le début de l'été, comme cette année, mais en essayant de ne pas se faire de la concurrence avec Beauregard (Calvados)."
50 000 spectateurs dans le viseur
Pour continuer à exister et ne pas tout payer de leurs poches, Jean-Louis Louvel et son associé, Christophe Dauvergne, veulent gonfler leur budget "grâce à de nouveaux partenaires privés", en passant de 2,1 M€ à 2,5 M€. Un investissement qui pourrait permettre de développer le festival et de faire mieux que les 38 000 spectateurs de cette année. "Si on travaille bien, on pourrait passer la barre des 50 000 voire des 55 000", s'enthousiasme Jean-Louis Louvel.
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Alors que le Green Horse Festival 2018 n'est qu'à l'état d'embryon, impossible pour le moment de se projeter sur la programmation musicale. Mais Jean-Louis Louvel l'assure, l'affiche restera éclectique "pour continuer d'attirer tous les membres de la famille".
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