Malgré une "concertation loyale et sincère" avec le gouvernement, M. Berger a exprimé sa "profonde déception face à l'opportunité qui était de faire du dialogue social un élément central de la gouvernance des entreprises".
"Il y a également des mesures qui nous inquiètent, comme la possibilité dans les entreprises de moins de 20 salariés d'avoir des décisions quasi unilatérales de l'employeur", a développé M. Berger, pour qui "le dogmatisme l'a emporté" sur des sujets comme le plafonnement des indemnités prud'homales en cas de licenciement abusif.
Pour autant, "il est évident que la CFDT ne sera pas dans la rue le 12", date à laquelle la CGT et Solidaires appellent à une journée d'actions. "Le combat syndical ne se résume pas à la rue, il est tous les jours dans les entreprises", a-t-il dit.
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