Vous entamez la préparation, dans quel état d'esprit êtes-vous?
"En terme d'intensité et de rythme, nous sommes là où on veut être. On est ni en retard, ni en avance. On entre dans une semaine de décharge, donc on n'a pas de match amical. Je retiens l'implication globale des filles, elles s'appliquent un maximum. Il faut garder cet état d'esprit".
Vous avez perdu votre arrière Emma Scherer (victime d'une luxation de l'épaule). Comment va-t-elle?
"Il y avait deux protocoles possibles pour soigner sa pathologie. Soit une immobilisation avec des séances de kiné, où le taux de rechute est évalué à 50%. Soit elle passe par l'opération avec un taux de rechute moindre. Elle a choisi la première option, en étant suivie par un spécialiste de l'épaule".
Comment combler son absence?
"Elle fera son retour d'ici 1 mois et demi voire 2 mois. Mais le retour de Pascale Schopp (victime des ligaments croisés la saison dernière, ndlr) fera du bien sur la base arrière. Elle est actuellement en programme de réathlétisation. Niveau handball, elle fera son retour à la compétition progressivement. Au départ, elle permettra d'avoir des rotations et au fil de la saison elle aura un rôle de plus en plus important".
Quelle importance accordez-vous aux matchs de préparation?
"J'apporte très peu d'importance aux résultats, c'est plutôt l'intention et l'opposition qui compte à ce moment de la préparation. On affine le projet défensif qui devient de plus en plus intéressant et on pose problème aux adversaires. Le grand chantier c'est le secteur offensif : il faut trouver des relations, des automatismes et trouver un projet qui correspond aux caractéristiques intrinsèques des joueuses. Pour chaque match, il y a une commande et jusque-là elle a été validée. c'est plutôt positif et ça permet d'avancer".
Pratique. Mercredi 6 septembre : Colombelles - Le Havre (N2) à la salle Michel Hidalgo
A LIRE AUSSI.
Roland-Garros: où en sont les Français?
Handball (N1F). Colombelles devra débuter sans Scherer
Hand: les Français retrouvent les Norvégiens, sans Luka Karabatic
Mondial-2018: semaine brûlante pour les Bleus
Pour Manu Da Costa, coach de Quevilly Rouen Métropole, "la Coupe peut procurer de superbes émotions"
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.