A 20 heures, les premiers convives se retrouvent déjà, entre habitués. En ce samedi 25 mars 2017, ce sont un peu plus de cent personnes qui sont attendues pour célébrer le "Nowroz", la nouvelle année perse. Parmi eux, Sam Badri, organisateur et membre de la compagnie du théâtre du Saëdi et de l'Association franco-iranienne : "cela fait 40 ans que l'on se retrouve pour fêter le nouvel an iranien, explique-t-il. Cette fête dure traditionnellement 13 jours en Iran. C'est maintenant la septième fois que l'on est au Café Mancel". Au menu de cette soirée, des plats traditionnels iraniens, du partage, de l'amitié et des habitués venus de loin : "les gens viennent de Paris, de Cherbourg ou encore d'Alençon". Et pour cette nouvelle année qui débute, "des voeux d'amitié et de tolérance".
Un théâtre engagé
Sam Badri est également auteur et metteur en scène pour la Compagnie du théâtre du Saëdi qui, à sa façon, oeuvre elle aussi pour l'amitié et la tolérance : "on travaille sur la citoyenneté, la laïcité, le respect... les valeurs importantes de la vie", avance le metteur en scène. La compagnie a ainsi créé une vingtaine de spectacles depuis 30 ans : parmi son répertoire, on compte le récent "Le renard sans queue" donné en représentation à l'Espace Tandem en novembre dernier.
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