Le trentenaire, contre lequel huit mois de prison avec sursis avaient été requis, a été condamné pour avoir pris en charge des migrants sur le sol italien, mais il a été relaxé des autres faits qui lui étaient reprochés, notamment l'installation de migrants dans un centre de vacances désaffecté de la SNCF et l'aide au séjour et à la circulation de migrants en situation illégale.
A LIRE AUSSI.
Calais: le retour précoce de migrants bravant le froid
En Hongrie, le combat isolé d'un prêtre pour aider les réfugiés
Au camp de migrants de Grande-Synthe, l'avenir est flou mais les passeurs restent
Un an après les agressions de Cologne, l'Allemagne face au défi de l'intégration
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.