C'est une belle histoire pour la Chandeleur que celle de la Galette d'Alençon. Au départ Pascal Esnault et Jean-Yves Pierre travaillaient dans l'agroalimentaire. Puis ils ont repris en 2013 la fabrique bretonne de crêpes de Broöns. Puis en septembre 2014, ils ont ouvert une seconde unité de fabrication à Alençon (Orne). Et l'aventure se poursuit avec une troisième unité en Pays de la Loire.
"La Chandeleur, c'est le Noël des crêpiers" explique Jean-Yves Pierre, l'un des deux dirigeants associés. Ces derniers jours, l'unité de fabrication de La Galette d'Alençon, implantée Rue de Verdun à Alençon (Orne) a tourné à plein régime pour satisfaire les commandes des grandes surfaces de toute la Normandie, mais aussi plusieurs restaurations collectives.
Aussitôt fabriquées, aussitôt mangées
Le credo de l'entreprise, c'est l'ultra frais. Ici les crêpes, c'est sans additif, ni conservateur, ni colorant, ni arôme artificiel. Les clients sont livrés entre deux et cinq fois chaque semaine, par la flotte de camionnettes de l'entreprise.
Deux millions et demi de crêpes...
La galette d'Alençon est née en septembre 2014, après que les deux associés aient débuté par la reprise d'une entreprise en Bretagne. Alençon devait livrer les clients de proximité dans l'Orne bien sûr, mais aussi en Sarthe, en Mayenne… Désormais, l'unité de fabrication ornaise, qui emploie dix salariés en CDI, livre l'Eure, la Seine-Maritime et la Manche. Du coup, une nouvelle unité de fabrication est implantée depuis 2016 à Angers, pour alimenter les clients des Pays de la Loire.
Jean-Yves Pierre:
La Galette d'Alençon
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