Dans comme partout ailleurs, la fusion des intercommunalités de l'Orne entre dans le cadre de la loi " Nouvelle organisation territoriale de la République ", autrement dit: la loi NOTRe, qui vise à réduire le nombre d'intercommunalités. Désormais elles doivent compter au moins 5000 habitants.
Plus de 5000 habitants
Dans l'Orne, du fait de ces nouvelles fusions, désormais: Quatre intercommunalités comptent entre 5000 et 10.000 personnes et onze comptent plus de 10.000 habitants.
Quinze intercommunalités
Depuis ce premier janvier, dans l'Orne, leur nombre est passé de vingt-neuf à quinze, avectreize communautés de communes, une communauté d'agglomération (celle de Flers), et une communauté urbaine (celle d'Alençon).
Contestation
Dans les tous prochains jours, les élus se réuniront pour élire les présidents, les bureaux, et harmoniser ces fusions d'intercommunalités qui se font parfois au forceps. Ainsi le conseil municipal de Rouperroux, 175 habitants, entre Alençon et Carrouges, vient de démissionner. Il voulait aller avec la Communauté Urbaine d'Alençon, mais se retrouve sur décision de la commission départementale intercommunale, avec la Communauté de Communes de la Ferté-Macé.
Communes nouvelles
Dans l'Orne, le nombre de communes diminue aussi: il n'y en a désormais plus que 394, en raison de la création de " communes nouvelles ": vingt-six ont été créées ces deux dernières années.
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