L'accord, qui n'implique pas ceux que les parties désignent comme "terroristes" comme le groupe Etat islamique, avait été annoncé dans la journée par le président Vladimir Poutine et confirmé par l'armée syrienne et l'opposition.
"Une heure avant le début du cessez-le-feu, les fronts étaient calmes, à l'exception de quelques roquettes visant la ville d'Alep (nord) et deux roquettes qui sont tombées sur la banlieue de Damas", a indiqué Rami Abdel Rahman, chef de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
Le président turc Recep Tayyip Erdogan, dont le pays soutient les rebelles, a qualifié cet accord d'"opportunité historique" pour mettre fin à la guerre qui a fait plus de 310.000 morts et des millions de réfugiés.
Le chef de la diplomatie syrienne Walid Mouallem a lui aussi estimé que le cessez-le-feu offrait une "véritable opportunité" pour trouver "une solution politique" au conflit.
L'annonce de trêve intervient une semaine après la reprise totale d'Alep par le régime du président Bachar al-Assad, sa plus importante victoire depuis 2011, obtenue avec le soutien de ses alliés indéfectibles, Iran et Russie.
A LIRE AUSSI.
Syrie: Moscou et Ankara discutent d'un cessez-le-feu
Syrie: Moscou annonce l'arrêt des frappes de l'armée à Alep
Le traumatisme des Syriens évacués d'Alep
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.