Parti de sa base du Pôle Nord, le Père Noël a rapidement pris de l'altitude et survolé plusieurs pays d'Asie et d'Océanie, notamment le Japon, la Corée du Sud, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, sur son traîneau tracté par neuf rennes.
En cinq heures, il avait déjà distribué 1,57 milliard de cadeaux, selon le compteur du Norad, qui défilait à vive allure.
Le Norad a créé un site dédié en huit langues pour traquer le Père Noël (), qui permet de connaître sa position en temps réel, ainsi qu'une ligne téléphonique animée par des bénévoles --qui devrait recevoir jusqu'à 140.000 appels dans la journée-- et un compte Twitter, @NoradSanta.
Le centre de commandement, dont la mission première est d'assurer la surveillance de l'espace aérien canadien et américain, perpétue là une tradition qui remonte à 1955.
En décembre de cette année-là, la chaîne de grands magasins Sears avait placé une annonce dans un journal local du Colorado, proposant d'appeler directement le Père Noël au numéro indiqué dans la réclame.
Mais, à cause d'une erreur d'impression, le numéro indiqué était, en réalité, celui du téléphone rouge du Norad.
D'abord désarçonné lorsqu'il se retrouva en ligne avec un jeune garçon lui demandant s'il était bien le Père Noël, l'officier de service ce jour-là, le colonel Harry Soup, se prit au jeu.
Il donna instruction à ses hommes de donner des informations sur la localisation du Père Noël et appela même une radio locale pour annoncer avoir vu un objet étrange dans le ciel.
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