"Nous avons beaucoup appris car rien n'est mieux que la compétition pour faire des essais", déclare l'Italo-Suisse, fervent partisan de l'arbitrage vidéo qui souhaite voir cette technique appliquée lors du Mondial-2018 en Russie.
Il avait dit à la veille de la finale du Mondial des clubs, organisé du 8 au 18 décembre au Japon et remporté par le Real Madrid, espérer "que les résultats des essais [soient] assez positifs pour le mettre en vigueur lors de la prochaine Coupe du monde".
Gianni Infantino défend la pratique, expérimentée par la Fifa à cette occasion, affirmant qu'il s'agit "d'éviter qu'une compétition comme un Mondial se décide avec une grave erreur de l'arbitre".
Il cite comme exemple de "grave erreur" la décision de l'arbitre lors de la rencontre entre les Japonais de Kashima Antlers et les Colombiens de l'Atletico Nacional: il n'avait accordé un penalty aux Japonais qu'après avoir été prévenu par l'assistant vidéo.
"Il faut améliorer la manière de communiquer les décisions au public du stade et aux téléspectateurs", précise Infantino, le système ayant suscité des critiques après un couac pendant la demi-finale entre le Real Madrid et les Mexicains d'America. L'arbitre avait alors accordé un but au club espagnol avant de l'annuler puis de le valider à nouveau après de longues secondes de confusion.
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