Champion du monde de GP2, certes, mais toujours proche de ses racines ! Mardi 20 décembre 2016, Pierre Gasly a lui-même demandé à ses parents d'organiser une réception pour remercier ses proches et ses soutiens de la première heure. Le jeune pilote de 20 ans a également pris le temps de répondre à quelques questions.
???????????? GP2 CHAMPION !!! ????????????
— Pierre Gasly (@PierreGASLY) 27 novembre 2016
Big thanks to @PREMAPowerteam & @redbullracing and all the people who supported me to have made it possible. pic.twitter.com/nNeKqCr47E
Quelle sensation cela procure de rentrer chez vous avec ce titre ?
Ça fait du bien de pouvoir savourer ! C'est que du bonheur de rentrer à la maison et de pouvoir célébrer ça avec mes partenaires et les amis qui m'ont soutenu depuis le début.
Esteban Ocon est de votre génération, lui aussi est Normand. Comment expliquez-vous cette densité de pilotes de la région aux portes de la Formule 1 ?
Je ne sais pas comment l'expliquer en fait ! J'ai aussi d'autres amis qui sont de la région comme Valentin Moineault qui roule en LMP3 ou Nicolas Jamin qui roule aux États-Unis... C'est peut-être le bon camembert !
Quelle importance ont ces soutiens locaux, surtout quand vous pilotez au bout du monde ?
Rouen, c'est ma ville ! C'est là que j'ai passé toute ma jeunesse et c'est ici que j'ai grandi. Quand j'ai du temps, je rentre à la maison et je passe du temps avec mes proches. Ces gens-là me connaissent depuis mes débuts donc c'est très important. Je suis fier d'avoir eu des gens comme eux autour de moi pour me motiver et me soutenir jusqu'à ce titre.
En 2017, vous rejoindrez la Superformula au Japon. Stoffel Vandoorne a fait ce choix après son titre de GP2 et aujourd'hui il est en Formule 1. C'est un modèle pour vous ?
Clairement c'est l'objectif de faire moi aussi une saison là-bas pour que je puisse me préparer au mieux pour la F1. Sur tous les aspects physiques et techniques, je veux être prêt pour la formule 1 en 2018 !
Est-ce que vous allez pouvoir rester anonyme à Rouen ?
Ça arrive qu'on m'arrête pour prendre une photo mais ça me fait plaisir. Je suis d'ici et ça me fait plaisir qu'on parle de ce que je fais. J'aime beaucoup recevoir des messages de soutien avant ou après une course. Et il y en a de plus en plus, donc ça doit vouloir dire que je prends la bonne direction.
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