"Je n'ai pas été capable de fermer ce satané machin en raison des restrictions qu'on nous a imposées. Mais il est vrai aussi que avons grandement réduit la population (carcérale) et il y a désormais moins de 100 personnes" dans cette prison militaire ouverte à Cuba après les attentats du 11 septembre 2001, s'est-il défendu.
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