Trois haltérophiles, l'Ukrainienne Olha Korobka (2e chez les 75 kg) ainsi que les Bélarusses Nastassia Novikava (3e chez les 53 kg dames) et Andrei Rybakou (2e chez les 85 kg messieurs), les lutteurs ouzbèke Soslan Tigiev (2e chez les 66-74 kg hommes) et kazakhstanais Taimuraz Tigiyev (2e chez les 84-96 kg hommes) et l'athlète russe Ekaterina Volkova (3e du 3000 m steeple femmes), ont tous perdu leurs médailles, après que le réexamen d'échantillons prélevés à Pékin a révélé la présence de déhydrochlorméthyltestostérone (turinabol), a expliqué l'instance olympique.
Les noms des athlètes qui vont récupérer les médailles n'ont pas été annoncés par le CIO.
Trois autres sportifs ont été convaincus de dopage: l'haltérophile azerbaïdjanais Sardar Hasanov, ainsi que les athlètes cubain Wilfredo Martinez et espagnol Josephine Nnkiruka Onyia.
Les nouvelles analyses des échantillons prélevés aux JO de Pékin ont déjà permis de révéler 60 cas de dopage.
Au total, sur les Jeux de Londres-2012 et de Pékin, le CIO a déjà fait réanalyser 1243 échantillons grâce à des méthodes scientifiques ayant évolué depuis et sur la base d'informations ciblées recueillies depuis l'été 2015.
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