Les trois salariés, entendus en garde à vue lundi 10 octobre par les gendarmes de la section de recherches de Strasbourg, ont été placés sous contrôle judiciaire. Mi-février, une note d'étape du Bureau d'enquêtes sur les accidents de transport terrestre (BEA-TT) avait estimé que "la vitesse très excessive de la rame d'essai" était la "cause unique" du déraillement" du TGV à Eckwersheim (Bas-Rhin), qui avait fait également 42 blessés.
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