"Tout ceci ne remet absolument pas en cause les prévisions de croissance de l'ordre de 1,5% pour 2016 et 2017", a déclaré le ministre, lors d'une conférence de presse à Berlin avec ses homologues allemands, Sigmar Gabriel et Wolfgang Schäuble.
Vendredi, l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a indiqué, dans une estimation définitive, que le produit intérieur brut (PIB) de la France s'était finalement contracté de 0,1% au deuxième trimestre, alors qu'une estimation précédente faisait état d'une stagnation.
Cette contraction du PIB contraste avec la forte croissance du premier trimestre, qui avait atteint 0,7%.
Le deuxième trimestre "est un trimestre décevant mais qui vient après un premier trimestre extrêmement fort", a relativisé Michel Sapin.
"Je rappelle que pour ce qui est de la France, ce sont des chiffres (pour les estimations de croissance annuelle) beaucoup plus élevés que les années précédentes et qui, à ce stade-là, permettent de créer un nombre d'emplois suffisant pour faire reculer le chômage", a ajouté le ministre français.
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