Q: Espérez-vous disposer de tout votre effectif?
R: "Le dernier entraînement ce lundi le dira. On prendra une décision concernant certains joueurs. Mais ils se sont tous entraînés dimanche et ça, c'est le plus important pour moi."
Q: Thiago Silva est-il en mesure de débuter?
R: "On prendra la décision à la fin de l'entraînement, le plus important c'est de savoir comment il se sent. Il s'est préparé pour se tenir prêt. S'il se sent bien, c'est une possibilité."
Q: A quel match vous attendez-vous face aux Gunners?
R: "A un match difficile, forcément différent de celui contre Saint-Etienne, car ce sont d'autres joueurs en face, qui nous opposeront un autre système de jeu, une autre idée du football. Je m'attends à un grand match, j'espère qu'on va en faire un contre une grande équipe, qui va jouer de façon offensive avec de la possession."
Q: Comment expliquer votre début de saison difficile?
R: "Le foot c'est difficile, ça l'a toujours été et le sera toujours. Tout est dans le travail, j'ai toute confiance dans le travail effectué, nous allons faire les choses de mieux en mieux."
Q: Comment vivez-vous avec la pression, peut-être plus forte à Paris?
R: "Je suis entraîneur. Je viens avec mon expérience et beaucoup d'exigence. Mon exigence, c'est gagner et ça ne change pas depuis mes débuts d'entraîneur en Espagne, il y a douze ans."
Q: Trouvez-vous les critiques injustes à votre endroit?
R: "Je suis entraîneur. Quand on gagne, les critiques sont positives et elles sont négatives quand on perd. Ce sera toujours comme ça. Mais j'assume mes responsabilités, je fais mon autocritique et j'apprends beaucoup de ce processus. J'ai besoin de temps et de travail. Je suis convaincu qu'on va s'améliorer et mardi c'est la première opportunité de le montrer. Le plus important pour moi, c'est l'équipe, le groupe. Sentir le groupe. Et ce que je vois me plait. Je pense que l'équipe va répondre présent."
Q: Le fait qu'Arsenal veuille le ballon, vous arrange-t-il ?
R: "Le plus important c'est de gérer au mieux le ballon lors des phases offensives. Demain, ce sera un grand match tactique. Et un grand match entre les joueurs, sur le plan individuel."
Q: Que vous inspire la longévité d'Arsène Wenger à Arsenal?
R: Cela fait cinq ans maintenant que je participe à des réunions entre entraîneurs à Nyon (siège de l'UEFA) où Arsène Wenger est aussi présent. Moi, j'ai 44 ans. Je suis jeune, j'ai encore à apprendre, et c'est pour ça que je suis ici à Paris. J'admire Wenger, son travail, sa capacité à rester aussi longtemps en poste. Ils sont rares les Ferguson, les Wenger... On aimerait tous être Wenger."
Propos recueillis en conférence de presse
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