"J'ai demandé à Philippe Péninque d'ouvrir un compte en Suisse en 1992 (...). Ce compte, c'est du financement d'activités politiques pour un homme dont j'espérais qu'il aurait un destin politique national", a révélé, au premier jour de son procès pour fraude fiscale, l'ancien élu socialiste, précisant qu'il s'agissait d'un financement pour Michel Rocard, mais sans donner le nom de ses interlocuteurs au sein de l'équipe de l'ancien Premier ministre.
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