Un juge antiterroriste a mis en examen la jeune femme, tout juste majeure, des chefs d'"association de malfaiteurs en vue de la préparation d'actes de terrorisme" et de "provocation directe à un acte de terrorisme au moyen d'un service de communication au public en ligne". Selon une source proche de l'enquête, des "messages inquiétants" avaient été repérés "dans le cadre de la surveillance des chaînes de Telegram", messagerie cryptée prisée des jihadistes.
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