Le 16 août prochain il ne restera plus qu'un seul gynécologue en poste, ce qui représente un risque trop élevé pour pérenniser l'activité. Pierre-Jean Lancry, le directeur général de l'agence régionale de santé de Basse-Normandie nous a dit « anticiper les solutions », conjointement avec le directeur de l'hôpital de Vire et le député-maire de la ville. Ils étudient ainsi la possibilité « d'un centre périnatal de proximité de manière à développer des activités n'existant pas aujourd'hui ».
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