Attribués à Rio en 2009, les JO s'ouvrent enfin, au prix d'efforts colossaux effectués par le Brésil ces derniers mois pour être à la hauteur de l'enjeu. Ils interviennent dans une atmopshère considérablement alourdie par la récession économique, des scandales de corruption à répétition et une impasse politique qui vaut à la présidente Dilma Rousseff, suspendue et absente de la cérémonie, d'être frappée par une procédure de destitution controversée.
L'objectif fixé au réalisateur brésilien Fernando Meirelles, grand ordonnateur de cette cérémonie d'ouverture a été que la cérémonie "fasse l'effet d'un antidépresseur pour le Brésil".
La soirée devait durer plus de 3h00, au terme du défilé de l'ensemble des délégations et d'une chorégraphie censée mettre en scène l'histoire tourmentée du pays.
L'hymne national brésilien a été chanté, accompagné de sa guitare, par le chanteur carioca Paulinho Da Iola, 73 ans, tandis que le drapeau du Brésil était hissé dans le stade.
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