"Nous allons introduire une petite réforme constitutionnelle (au Parlement) qui si elle est approuvée fera passer le service national de renseignement (MIT) et les chefs d'état-major (de l'armée) sous le contrôle de la présidence", a-t-il déclaré sur la chaîne de télévision A-Haber.
Il a par ailleurs annoncé son intention de fermer toutes les écoles militaires et de les remplacer par une université nationale chargée de former les forces armées.
Ces déclarations interviennent alors qu'Ankara a procédé cette semaine à un important remaniement de l'armée, dont près de la moitié des généraux (149) ont été limogés après la tentative de putsch de la nuit du 15 au 16 juillet.
Une petite partie de l'armée, dont de hauts gradés, s'étaient emparés de chars, avions de chasse et hélicoptères pour renverser le pouvoir islamo-conservateur.
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