L'émotion était toujours très vive ce mercredi 27 juillet 2016, moins de vingt-quatre heures après l'attentat perpétré par deux jeunes jihadistes, en pleine messe, dans l'église de la commune, en périphérie de Rouen.
Receuillement à la mairie
Alors que le secteur de l'église était toujours bouclé par les forces de l'ordre, de nombreux stéphanais continuaient de venir se recueillir à la mairie.
"Aux victimes de l'horreur", "tous unis contre la haine et la terreur", pouvait-on lire sur de petits bouts de papiers glissés entre des roses blanches et des dizaines de bougies, allumées sur le parvis de la mairie. Ce mercredi matin, on faisait encore la queue pour venir écrire quelques mots sur les registres ouverts dans le hall de celle-ci.
Aurélie y est venue avec ses enfants :
Christian veut aussi, que le gouvernement fasse « quelque chose » :
Rhalid est français de confession musulmane. Il a tenu a venir avec sa petit fille Lyma :
Enfin Roger a bien connu le père Jacques Hamel :
"C'est comme dans un cauchemar. C'est incroyable, on a encore du mal a comprendre que ça c'est passé chez nous",
s'accordent-ils tous a constater
De l'autre côté de la rue, d'autres habitants font leurs emplettes pour le déjeuner. La vie continue.
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