Plusieurs personnalités de Normandie se sont exprimés, vendredi 15 juillet 2016, suite à l'attentat qui a frappé Nice, la veille, tard dans la soirée. Le maire de Caen (Calvados), Joël Bruneau a été l'un des premiers à réagir. Il n'était pas encore une heure du matin quand il twittait : "Quand la fête nationale se transforme en effroi national. Emotion, solidarité et courage." Son prédecesseur, le socialiste Philippe Duron a réagi ce matin : "Réveil glauque, 84 morts à Nice. Terrorisme criminel qui frappe les familles, leurs proches mais aussi le pays tout entier. Horreur."
Ce vendredi soir, les autorités savent qui était le conducteur fou. L'auteur, qui disposait d'une carte de séjour, était chauffeur de poids lourd, et avait récemment été interpellé pour une bagarre à la suite d'un contentieux routier. Il était armé d'un 7,65 mm. A l'heure actuelle, cet acte n'a toujours pas été revendiqué.
Mais pour la sénatrice du Calvados Corinne Féret, la volonté de tuer des gens qui savourent la vie est comparable à d'autres actes térroristes perpétrés ailleurs dans le monde ces dernières années...
Corinne Féret au sujet de l'attentat de Nice
A gauche encore, la Rouannaise, ancienne ministre, Valérie Fourneyron écrit elle aussi : "Cœur brisé par l'ignoble attaque d'hier soir... Pensées vont aux victimes, aux proches. Nous restons et resterons debout." La lexovienne Clotilde Valter, secrétaire d'Etat, explique : "Unis et rassemblés nous vaincrons la barbarie".
Même combatitivité dans le ton pour Philippe Bas. Le président du conseil départemental de la Manche écrit lui que "la France doit réagir dans la force, l'unité, la détermination et le calme. Ni panique, ni démagogie, ni polémique."
#AttentatNice: la France doit réagir dans la force, l'unité, la détermination et le calme. Ni panique, ni démagogie, ni polémique.
— Philippe Bas (@BasPhilippe) 15 juillet 2016
Enfin la sénatrice de l'Orne, Nathalie Goulet rappelle que "la veille de #NiceAttentat, le discours présidentiel était à la levée de l'Etat d'urgence et c'est bien le signe de l'imprévisibilité du drame".
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Comme disait Coluche,je ne suis pas de gauche mais pas de droite non plus faut pas déconner dans ce genre de situation l'unité des français est indispensable et je déplore les réactions de certains responsables de droite,sauf en Normandie est ça fait plaisir .