Pourtant, ici, cette transformation a quelque chose de magique au regard, en insufflant une jolie dose de charme à un modèle certes reconnu mais conventionnel.
Par rapport à la berline C et à son pendant break, le nouveau coupé change donc de registre par une silhouette imprégnée d’une forte sportivité.
La voiture plaisir
L’élan visuel de ce coupé 2 portes à trois volumes, avec coffre séparé, tient aussi au soin apporté à certains détails. Passages de roue bien remplis, jantes alu de 17 pouces minimum, calandre spécifique, optiques agressives avec feux diurnes à LED, y ajoutent du "chien". L’introduction de ce coupé dans la Classe C se justifie donc essentiellement par son bel habillage, chargé de magnifier les multiples qualités de cette gamme fraîchement remodelée, et par-là même passablement modernisée.
Le renfort de cette troisième carrosserie "plaisir" dans la gamme d’accès aux Mercedes propulsion permet aussi à l’étoile d’apporter enfin une réplique sérieuse à ses rivaux traditionnels dans cette catégorie.
Dans cet esprit, ce coupé hédoniste taillé pour les esthètes est pourvu de motorisations toniques, à partir de 35 900 euros en 1.8i 156 ch, y compris les deux diesels, de bon calibre avec 170 et 204 ch.
Au volant de ce dernier bloc, on sent l’auto bien posée sur ses roues et le plaisir de conduite est assurément au rendez-vous avec des chevaux à la sonorité rauque qui avancent bien. Et sans jamais consommer beaucoup.
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