C'est une technique peu répandue mais qui en fait est ancestrale. Le faucon vous le savez est un prédateur et son rôle de régulateur sur les populations animales est plébiscité. L'oiseau simule en fait tout simplement des attaques.
Et sur les 6 à 700 pigeons recensés certain ont déjà compris la leçon. Mais pour être vraiment efficace, l'effarouchement doit être renouvelé à pl:l:usieurs reprises. Alexandre Hurlin interviendra donc une fois par mois jusqu'en décembre. Une technique plus longue que l'effarouchement sonore ou chimique, mais aussi plus proche d'une stratégie de développement durable.
En décembre la ville de Bayeux et le fauconnier feront le point sur la population de pigeon présente autour de la cathédrale afin de déterminer s'il y a nécessité à reconduire l'opération ou non.
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