La présidente interroge le prévenu, qui perçoit l’allocation d’adulte handicapé pour troubles psychologiques, handicap situé à 80%... “Cela vous arrive-t-il de réfléchir” ? - “Je commence à comprendre”, lui répond-il, lui qui compte sept mentions à son casier judiciaire. L’avocate de la défense défend que son client, réputé psychopathe, ne peut anticiper les conséquences de ses actes. Elle avance que ce majeur protégé, s’il doit faire des mois d’emprisonnement supplémentaires, va perdre son logement, dernier rempart contre la “clochardisation”. Jérôme Liot a écopé cependant de huit mois d’emprisonnement supplémentaires.
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