Pionnier, le constructeur suédois pourrait s’en enorgueillir à grands coups de trompe.
Mais les stratèges de Göteborg, jugeant ces acquis de la raison pas assez “glamour”, préfèrent désormais mettre en avant la facette “pimentée” de la production maison.
Inaugurée par l’avènement de la gamme moyenne supérieure il y a quelques mois, cette nouvelle démarche vante la sportivité du break V60 et de la berline S60, attestée par quelques puissantes motorisations sous leur capot, culminant à 304 ch avec la T6.
Pour autant, Volvo ne néglige pas ses fondamentaux historiques et vient de le démontrer avec le récent apport dans la gamme d’une version DRIVe aux dispositions écologiques drastiques. Au cœur du système, un 4 cylindres 1.6 diesel de 115 ch – dit “D2” en interne – dûment retravaillé, avec Stop&Start, système de récupération de l’énergie au freinage et lubrifiant plus fluide, au bénéfice d’émissions de CO2 vaillamment contenues – pour de telles routières - à 114 g/km pour la berline, et 119 g pour le break.
Efficacité à la pompe
Si, au volant, les 115 ch du D2 n’ont rien d’ébouriffant, cette Volvo n’a inversement rien d’un veau, avec un couple suffisamment présent pour lui insuffler une certaine vivacité, alors que l’équipement généreux fait aussi son poids.
L’efficacité de cet attelage se vérifie également à la pompe (de gazole), puisqu’en roulant normalement dans la circulation, il est difficile de dépasser les 6 l./100.
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