"On a dit qu’il fallait éviter qu’il y ait les mêmes difficultés que la semaine dernière et qu’il fallait trouver le bon équilibre entre préservation des libertés et respect de l’ordre public. C’est sur cette base qu’il y a eu un dialogue entre la Préfecture de police, l’Intérieur et les organisations organisatrices, et que la décision a été prise", a-t-on précisé.
"C’est une décision de gestion opérationnelle de l’ordre public. L’arbitrage n’a pas été rendu par le président lui-même. Le président de la République n’est pas en charge de l’ordre public et de l’organisation des manifestations", a-t-on également souligné.
L'entourage du chef de l'Etat a fait valoir que l'interdiction relève "du droit". "C'est du droit. Il y a une appréciation entre le droit et les libertés. Il appartient aux autorités préfectorales de décider. Tout ça est soumis au juge administratif", a-t-on précisé.
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