L’Orlando introduit ainsi la marque américaine la plus populaire dans le créneau des monospaces… bien qu’il n’en ait pas vraiment l’air.
Pouvant s’apparenter, par son esthétique de gros dur robuste, à un crossover, l’Orlando n’en est pas moins une véritable familiale avec ses 7 places disponibles en permanence
Soignant la vie à bord aussi bien que nombre de ses alter-ego, le Chevrolet Orlando cultive même l’astuce pour certains espaces de rangement, comme celui aménagé derrière la façade de l’autoradio, miniaturisé pour la circonstance.
Familiale robuste
Reposant sur les bases techniques de la berline compacte Cruze, d’ailleurs bientôt déclinée sous une carrosserie 5 portes mieux en phase avec les aspirations européennes, l’Orlando privilégie le diesel avec un 2.0 VCDi proposé en 130 ch boîte 6 pour la finition de base LT+ (23 500 €), un peu tristounette avec ses camaïeux de noir, mais déjà correctement pourvue, et 163 ch, boîte 6 ou bva 6, en LTZ et LTZ+.
Réellement agréable à conduire, homogène et confortable, avec un moteur coupleux et pas bruyant pour entraîner l’ensemble avec un certain brio comportemental, l’Orlando ne déçoit pas.
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