La faible majorité gouvernementale conduite par la gauche Syriza du Premier ministre Alexis Tsipras a adopté un projet de loi de 7.000 pages, hautement impopulaire, qui prévoit notamment un mécanisme de correction automatique en cas de dérapage budgétaire et des mesures supplémentaires pour accélérer les privatisations et augmenter les taxes indirectes.
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