Le chef de l'Etat, selon Stéphane Le Foll, a introduit le Conseil par "un message clair de soutien à l'ensemble des forces de police dans un contexte difficile", soulignant que "l'équilibre doit être parfaitement préservé entre le maintien de l'ordre et le respect de notre droit".
"C'est un soutien très clair du président de la République ce matin aux forces de police", a insisté le porte-parole du gouvernement.
Selon lui, François Hollande, le Premier ministre Manuel Valls et le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve ont rappelé "les instructions qui étaient données et ce qui avait été fait pour la police" depuis le quinquennat précédent.
Bernard Cazeneuve, a-t-il précisé, "est revenu aussi sur le fait qu'il y a eu 1.300 arrestations depuis le début des manifestations".
Les policiers sont appelés à manifester mercredi midi en France pour dénoncer la "haine anti-flics", une première survenant après deux mois d'affrontements parfois violents en marge de la mobilisation contre la loi travail.
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blabla usuel : si les assaillants continuent c'est que les bonnes personnes n'ont pas été interpellées ou que les sanctions prononcées n'ont aucun effet dissuasif : En terme de maintien de l'ordre public, l'Etat a, en échange de son monopole de la violence légitime, une obligation de résultat !
"1.300 arrestations" ne veut rien dire : ce peut être les mêmes personnes interpellées 3 fois et relâchées ...
Les violences gauchistes se combattent en dissolvant les groupes qui les suscitent (Antifa, black block et autres) et en écartant les juges qui les soutiennent (SM). La volonté politique n'est clairement pas là.