Daniel Dubosq, âgé de 61 ans est atteint de paraplégie. Il se présente comme un homme de conviction concerné par les problèmes de l'humanité. En 2009, il s'engage dans l'association Don Quichotte de Normandie, basée à Caen (Calvados), qui vient en aide aux mal logés.
Prostituées, hôtels, restaurants, "salons de massage"
Mais, en 2012, les comptes bancaires de l'association deviennent débiteurs. Après enquête, le bienfaiteur aurait avoué s’être servi. En effet, 42 chèques auraient été utilisés pour un montant de 7565 euros pour son usage personnel.
L'homme a été jugé en son absence le mardi 10 mai 2016 par le tribunal de grande instance instance de Caen, pour abus de confiance de janvier à juin 2012. Aux enquêteurs, il aurait déclaré avoir réglé des prostitués, des hôtels, des restaurants, ainsi que des "salons de massage".
"Que fait le gouvernement pour les paraplégiques ?"
"J'avais conscience que je n'aurais pas dû utiliser cet argent, mais j'ai besoin de relations sexuelles, c'est la seule chose qui me soulage ! Que fait le gouvernement pour les paraplégiques ? Une toute petite pension leur est accordée. Mais je m'occupais tout de même de l'association, il m'est arrivé d'inviter des SDF à des prestations 'au soleil levant' (Spas, massages, etc...). Une nuit complète avec une prostituée coute 500 euros, alors parfois on était deux ou trois..."
Le casier judiciaire de l'individu comporte des mentions de vols et de conduite sous l'emprise de l'alcool. Il a été condamné à 8 mois de prison ferme. Un sursis d'un mois a été revoqué. A cela s'ajoute 2000 euros d'amende.
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Comme quoi on peut être esclavagiste, voleur, obsédé et paraplégique...
Quant au fait qu'il aille réellement en prison, j'en doute...
Cet homme a été condamné pour abus de confiance et c’est logique. Si ses agissements avaient lieu aujourd’hui, il serait en plus condamné pour achat d’actes sexuels et ce ne serait que juste.
Il n’y a aucune excuse valable pour imposer ses envies sexuelles à unE autre en profitant de sa situation de précarité.
Cet homme est un client prostitueur comme un autre, c’est-à-dire un homme qui estime qu’il a droit à avoir accès sexuel à des femmes, pour « s’y soulager » !
Il se plaint et méprise les femmes, c’est le client prostitueur ordinaire.
J'adore "que fait le gouvernement". Si le gouvernement devrait envoyer des garçons aux vieilles dames seules depuis si longtemps.