"On parle de faits qui sont d'une extrême gravité. Et si ces faits sont avérés, il faut que ça soit réglé devant la justice. Et si ces faits ne sont pas avérés, il faut aussi que ce soit réglé devant la justice. Il n'y a pas d'autre question, il n'y a pas d'autre choix", a déclaré l'ancienne secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts sur France Info.
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Je peux comprendre que sa position aie été inconfortable et qu'elle ait tenté de minimiser ce qui la touchait de près. Mais quand la ministre nous dit "je ne savais pas" alors qu'elle était secrétaire générale du parti et épouse du bonhomme, elle illustre que trop de politiciens ont un vrai problème avec la notion de vérité !