L'affaire a fait grand bruit à Caen : des murs taggués, des rayonnages renversés, des livres volés, des vitres cassées... Après l'occupation du bâtiment B du camps 1 de l'université de Caen, en marge du mouvement contre la loi Travail, le spectacle était à peine croyable.
Une semaine après les faits, l'institution livre son premier bilan ce jeudi 7 avril : le "coût direct de remise en état" est de 33 000 €. Une inspection des lieux a permis de recenser "deux cents tags et inscriptions". Une chronologie des faits a aussi été menée. Suite à ces investigations, l'Université a précisé que la "responsabilité des occupants illégaux est définitivement attestée".
L’Assemblée générale des luttes a, elle, nié sa responsabilité dans les dégradations.
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