Plus de 200 personnels des études notariales ornaises se sont réunis au lycée agricole de Sées, ce mardi 5 avril, sur une douzaine d'ateliers qui ont traité des questions d'actualité : droit immobilier, de la famille, objectif 100 % d'actes notariaux numériques...
Mais cette journée a aussi polarisé beaucoup d'inquiétudes sur les conséquences de la « loi Macron », qui fait perdre de l'argent aux notaires sur tous les actes d'un montant de moins de 8000 euros.
Une loi qui va beaucoup impacter, en priorité, les petites études notariales rurales, auxquelles les grosses études urbaines pourraient même être contraintes de verser une « compensation ». D'autres solutions sont recherchées, comme un emutualisation de études.
Mais c'est ausssi la volonté de "mettre le client au centre des préoccupations", en lui permettant, par exemple, de suivre en direct l'avancée de ses dossiers, par Internet.
Maître Hubert Gaudré, notaire délégué à la communication
La loi Macron inquiète les notaires de l'Orne
Ce même type « d'université du notariat » est également organisé, mais seulement tous les 2 ans, dans les départements du Calvados et de la Manche.
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