Doctorant à l'école normande de biologie intégrative (Caen), Aurélien Quillet effectue également ses travaux de recherche sur le cancer de la surrénale à l'Inserm de Mont-Saint-Aignan, près de Rouen. L'étudiant a réussi à séduire le jury et à lui faire comprendre sa thèse au nom a priori barbare - "Rôle des micro ARNo dans le contrôle de la sécrétion par les phéochromocytomes" - en trois minutes chrono. Il a ainsi coiffé sur le fil les 12 autres thésards.
Il défendra les chances de la Normandie lors de la finale nationale le 31 mai prochain. Et si d'aventure il faisait partie des trois meilleurs candidats à Bordeaux, il gagnera le droit de disputer la finale internationale le 29 septembre prochain à Rabat, au Maroc, face à des candidats venus du Québec, de la Belgique ou encore de la Suisse et du Sénégal.
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