Aux dires de la victime, les faits se sont déroulés le 17 janvier 2015 à Caen. Vers 3h du matin, comme elle refusait de lui ouvrir, l'homme force la porte et l'enferme à clé. Se jetant sur elle, il la tire par les cheveux sur le sol, lui frappe la tète, lui assène des coups de poing dans le visage et va même jusqu'à lui entourer le cou avec le fil du chargeur du téléphone. Ce qui lui vaudra six jours d'incapacité de travail.
L'homme nie être l'auteur de ces violences : « Ce n'est pas moi ! Je ne comprends rien à cette histoire ! Je la connais depuis 20 ans, on a eu une relation mais je n'ai plus aucun contact intime avec elle.», affirme-t-il.
Son casier judiciaire comporte quize mentions dont vols par effraction avec violence ou encore violence aggravée envers la plaignante qui, à l'époque était sa concubine. « C'est une hystérique bipolaire, se défend-t-il encore, elle m'écrit sans arrêt en prison et vient me voir au parloir. Elle fait une fixation sur moi. »
L'avocat plaide que cette relation est déséquilibrante pour les deux et qu'en ce qui concerne les faits reprochés, c'est parole contre parole.
L'homme est relaxé au bénéfice du doute.
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