"La droite sénatoriale a bloqué la révision (constitutionnelle) alors qu'un accord était possible et qu'elle était favorable à la déchéance", a déploré le Premier ministre sur RTL.
"Une partie de la gauche préfère ou préférait l'échec plutôt que de voter une déchéance, pas pour un bi-national, pas pour un Français, pour un terroriste, pour un terroriste", a-t-il souligné.
"Malheureusement, encore une fois, des considérations politiques sont venues percuter cette volonté d'unité", a-t-il poursuivi.
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