La garde de l'enfant est accordée à la mère, âgée de 38 ans, qui réside à Epron, au nord de Caen. Lorsqu'il rentre de chez son père, le petit garçon porte des bleus, fait des crises d'angoisse et des poussées d’eczéma. Il se dit maltraité.
La mère porte alors plainte et dépose une requête en référé pour suppression du droit de visite et d’hébergement pour cause de violence. Mais le juge aux affaires familiales maintient le droit de visite, l'enfant présentant des idées morbides mais pas de lésions.
Qu'à cela ne tienne : durant les vacances de Noël, elle quitte son domicile avec lui. Elle ne l'envoie plus non plus à l’école le vendredi, car c'est là que son père doit le récupérer. Ce dernier ne verra ainsi pas son fils de septembre 2015 à janvier 2016.
La mère comparaissait mercredi 23 mars devant le Tribunal de grande instance de Caen pour non présentation d'enfant à une personne ayant le droit de le réclamer. « C'est un manipulateur violent, je ferai tout pour protéger mon fils ! », déclare-t-elle à la barre. Mais le parquet n'a pas été convaincu et la condamne à trois mois de prison avec sursis et à 200 euros d'amende.
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Regarderons enfin les hommes autrement dans les affaires familiales
L'égalité homme femme passe aussi par cela
Les accusations de violences : grand classique pour éloigner un enfant de son père.
Il faut systématiser les condamnations de ce type. Le trop grand laxisme de la justice est responsable du grand nombre de non présentations d'enfants actuelle.
On condamne bien plus sévèrement le non paiement de pensions alimentaires que les non présentations.
Enfin les forces de l'ordre sont aussi coupables. Interpeller une mère qui fait cela, dès la première fois, comme le code de procédure pénale le prévoit, puis une comparution pénale immédiate mettrait bien souvent fin aussitôt à ces pratiques.
Cette info me donne espoir...
Après :
- les 7 années passées depuis la séparation
- 30 mois sans pouvoir voir mon enfant
- une multitude de plaintes pour non représentation d'enfant
- une plainte pour faux et usage de faux (falsification d'un document officiel afin d'inscrire l'enfant à l'école sous un autre patronyme)
- Aucun Noël passé avec mon fils
- Aucune possibilité d'emmener mon fils en vacances
- 3 jugements en ma faveur
- 4 refus (de sa part) de médiation
- et maintenant, un appel du dernier jugement afin de me supprimer mon droit d'hébergement
Elle agit toujours en parfaite impunité au mépris de la justice lui permettant ainsi de me considérer comme un géniteur payeur.
Donc, oui, j'ai l'espoir d'une bienveillante fermeté de la justice.