Un premier rassemblement a regroupé 120 manifestants en fin d'après-midi à Argentan, alors qu'à La Ferté Macé quelques 80 lycéens ont manifesté.
A 18h, 250 manifestants se sont rassemblés Place Foch, devant l'hôtel de ville d'Alençon, à l'appel de CGT, FO, Solidaires, Sud, NPA, avant un défilé à travers la ville.
Tous dénoncent une « loi travail » qui n'allège pas le code du travail, mais qui le brûle ; une spirale régressive après les lois Rebsamen, les lois Macron, les lois de sécurisation de l'emploi.
Les syndicats voient dans l'actuel projet une déclaration de guerre contre tous les salariés du privé, les précaires, les chômeurs, puisque, expliquent-ils, les entreprises pourront déroger aux dispositions du code du travail dans un sens plus défavorable aux salariés.
Déjà, les syndicats appellent à une nouvelle mobilisation le 31 mars : ils appellent ce jour-là à « une journée noire » dans les entreprises, où ils incitent les salariés à faire grève.
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