Via ses bureaux dans le monde, l'AFP a sollicité la totalité des 209 fédérations membres de la Fifa. 161 ont répondu, soit 77% d'entre elles, dont 100 ont affiché leur soutien à l'un des cinq candidats en lice, les autres se retranchant derrière le secret de l'isoloir.
Avec 68 intentions de vote exprimées sur son nom, Gianni Infantino devance assez largement le cheikh Salman (28).
Les trois autres candidats en lice, le Prince jordanien Ali (4 intentions de vote), l'homme d'affaires sud-africain Tokyo Sexwale (0) et le Français Jérôme Champagne (0) semblent par contre condamnés à un rôle de figurants.
A noter pour Salman le décalage important entre les 28 intentions de vote recueillies par l'AFP et les 100 voix virtuelles que devrait lui conférer le soutien reçu des confédérations asiatique et africaine.
Le Bahreini est en effet officiellement soutenu par l'AFC (la Confédération asiatique, 46 voix), dont il est le président, et la CAF (la Confédération africaine, la plus importante avec 54 voix).
Cette différence est par contre presque nulle pour Gianni Infantino, qui a lui reçu le soutien de l'UEFA (Europe, 53 voix), dont il est le N.2, de la Conmebol (Amérique du Sud, 10 voix), et des 7 pays de l'UNCAF (l'Amérique centrale). Soit 70 voix potentielles, pour 68 intentions de vote dans le décompte de l'AFP.
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