Alors que 100 % des classes bi-langue sont maintenues à Paris, elles sont toutes supprimées dans l'Orne.
C'est une « aggravation d'inégalité », que dénoncent les parents d'élèves. Ils parlent d'injustice et souhaitent une révision du plan d'enseignement des langues vivantes.
La FCPE nationale étudie comment faire respecter le « droit à égalité des chances », en matière d'enseignement, sur l'ensemble du territoire national.
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