Une femme ayant fait l'acquisition d'un appartement, fait appel à une entreprise pour y effectuer des travaux d’électricité.
En aout 2013, elle trouve les coordonnées d'un artisan dans les pages jaunes de l'annuaire. L'homme lui dresse un devis de 3914 euros et lui demande de lui en verser la moitié en acompte.
Il vient travailler une journée mais ne reparait que pour récupérer son matériel. Il assure que son fils viendra poursuivre le chantier. Ce qui ne sera jamais fait.
L'individu a été jugé en son absence, pour escroquerie, le jeudi 4 février par le tribunal de grande instance de Caen. Après enquête, il s’avère qu'il se trouve en liquidation judiciaire et que le chèque a été déposé sur son compte personnel. Son casier judiciaire comporte plusieurs mentions (conduite alcoolisée, chèques contrefaits, escroqueries). « Je veux que mon nom demeure dans l'honneur » déclare-t-il aux gendarmes.
Il a été condamné à une amende et à une indemnisation de 3300 euros.
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