"Nous avons une position de principe aux Nations unies, qui est qu'aucune amnistie ne doit être accordée à ceux soupçonnés de crimes contre l'humanité ou crimes de guerre", a-t-il dit lors d'une conférence de presse dans la ville suisse. "Nous espérons qu'au cours des négociations (sur la Syrie) les médiateurs insisteront bien évidemment sur ce point auprès des parties au conflit."
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.