"Sans ce parti, sans ses représentants, les négociations ne peuvent pas donner le résultat que nous voulons, à savoir un règlement politique définitif" du conflit syrien, a déclaré M. Lavrov, soulignant toutefois que si le Parti de l'union démocratique (PYD) de Saleh Muslim n'était pas invité, la Russie n'imposerait pas pour autant son "veto" aux pourparlers de paix qui doivent débuter vendredi à Genève sous l'égide de l'ONU.
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