Lors d'une audience en présence de l'ex-trader, de ses avocats et de ceux de la Société Générale, le ministère public a appelé cette commission à décider le 21 mars d'un sursis à statuer, ce qui repousserait encore toute décision sur un éventuel nouveau procès.
L'avocat général a requis ce sursis à statuer pour laisser le temps à la justice d'examiner un témoignage-clé apporté par M. Kerviel, celui d'une enquêtrice de la Brigade financière.
Cette dernière, Nathalie Le Roy, dit avoir été manipulée par la Société Générale lorqu'elle travaillait sur la perte de 4,9 milliards d'euros annoncée il y a huit ans par la banque, qui en rend M. Kerviel seul responsable.
L'ex-trader assure lui que sa hiéréchie connaissait et couvrait ses transactions à haut risque.
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