Le tribunal des prud'hommes d'Alençon a rendu ce lundi matin 18 janvier son délibéré, concernant les 146 salariés qui avaient été licenciés lors de la liquidation judiciaire en janvier 2014 du carrossier d'autocars « Carrier », à Alençon :
Ils avaient porté plainte pour licenciement sans cause réelle ni sérieuse, contre leur « maison-mère » : le groupe Fast, après la délocalisation de leur activité en Égypte et ils avaient réclamé chacun 155.000€ de dommages et intérêts, soit près de 23 millions d'euros en tout.
Mais le tribunal les a débouté : pour lui il n'y a pas co-emploi entre Carrier et Fast et le motif économique des licenciement est confirmé.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.